
Amarto, célèbre écrivain parisien, se retrouve un beau jour sur les épaules d’Hélène Proust, simple secrétaire d’une salle de rédaction. Que fait-il là ? Hélène a commis un crime, il le sait mais quoi ? Qui est la victime ?
Suivant une jeune trentenaire, Hélène, secrétaire sans extravagance, à toute heure du jour et de la nuit, Amarto tente de reconstituer une histoire qui semble le concerner. La jeune femme a tué. Les indices sont faibles et la femme ne montre aucun sentiment de culpabilité mais elle a tué.
L’arrivée des policiers précise les choses : la victime s’appelle Amarto ! Lui ! Hélène l’a donc assassiné ! Mais pourquoi ? Il ne se souvient de rien ! Quel était son mobile, que lui a-t-il fait ?
Il découvre alors qu’Hélène a fourni un manuscrit à une critique qui le lui aurait transmis et qu’il aurait plagié… Mais non, le livre en question était un projet de son assistant André Bertrane, c’est lui qui lui avait proposé le texte… A-t-il été l’objet d’un complot, d’un piège, d’une jalousie, d’une machination destinée à le faire tomber de son piédestal ? Bertrane, l’homme de l’ombre, et Galène, la maîtresse abandonnée se seraient ligués contre lui. Mais c’est Hélène qui l’avait tué.
La jeune femme se défend. Pas de preuves, pas de témoins, le manuscrit reste introuvable… Amarto, lui, a vu Hélène cacher une clé USB dans le plafonnier de sa cuisine. Comment alerter l’inspecteur ? Personne ne le voit, personne ne l’entend. Il n’est qu’une ombre parmi les ombres.
Et si les ombres pouvaient agir sur le réel !